24 Heures du Mans 2025 : la légende reprend ses droits

Créée en 1923 pour pousser les constructeurs à innover, la course s’est imposée comme l’un des trois piliers du sport automobile mondial, aux côtés d’Indianapolis et Monaco. Depuis un siècle, le circuit a vu naître les grandes avancées technologiques : freins à disque, phares laser, moteurs turbocompressés… .

Le programme du week-end

Vendredi 13 juin : grande parade des pilotes en centre-ville, ponctuée de courses-supports comme le Porsche Sprint Challenge

Samedi 14 juin, 16 h : Roger Federer descend le drapeau, et 62 Hypercars s’élancent pour 24 h haletantes. 

Dimanche 15 juin, 16 h : le drapeau à damier clôture l’épreuve, après un marathon de vitesse et endurance.

Les enjeux de cette 93ᵉ édition

Huit constructeurs sont en lice : Aston Martin, Alpine, BMW, Cadillac, Ferrari, Peugeot, Porsche et Toyota. L’Hyperpole a déjà vu Cadillac dominer, mais derrière, la bataille s’annonce féroce entre géants de l’endurance.

Entre tradition et modernité

La course conserve son âme : alternance jour-nuit, relais épuisants, mais aussi un esprit populaire incarné par la parade et les empreintes au quartier de la gare. Malgré son histoire centenaire, le Mans reste une vitrine d'innovation technologique, notamment avec l’hybridation et la balance de performance garantissant une lutte serrée .

En bref

Samedi à 16 h, Federer ouvrira le bal pour 24 h d’épique compétition. Dimanche à 16 h, le verdict tombera : qui ajoutera son nom à la légende des 24 Heures du Mans ?